L’hiver, au Québec, a une dimension identitaire.

Depuis les premiers jours de la colonie, nous savons que chaque année commencera une saison toujours trop longue que nous devons apprivoiser et qui façonne notre rapport au monde. Ce n’est pas sans raison que Gilles Vigneault a dit de notre pays qu’il se confondait avec cette saison, d’ailleurs.

Chaque fois, le printemps se présente comme une libération.

Il y a ceux qui s’encabanent, il y a ceux qui veulent........

© Le Journal de Québec