« Le scandale a créé une étincelle »: un « girlcott » historique du festival d’Angoulême par les autrices de bande dessinée
285 autrices replacent les violences et harcèlements sexistes et sexuels au cœur de la mobilisation. Elles revendiquent une nouvelle orientation éthique et plus humaine d’un festival ouvert à tous les publics et à la diversité de la création.
Girlcott, l’équivalent féminin du boycott, appartient aux luttes des femmes. Il a été utilisé pour la première fois en 1891, en Californie. Depuis la pétition d’appel au boycott du festival d’Angoulême, relayée dans l’Humanité au mois d’avril, les autrices sont en première ligne de la mobilisation.
Comme Anouk Ricard, grand prix 2025, qui réaffirmait sa décision de boycotter le festival il y a quelques semaines, elles se sont organisées collectivement et sont devenues le fer de lance de la mobilisation générale. À leurs côtés, les femmes et toutes les minorités de genre du milieu de la BD, pour faire bouger les lignes. Derrière Chloé1, cette responsable de la........





















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