L’année où le « bashing » ESG n’a pas mis fin à la transition
EXPERTE INVITÉE. Quand je regarde l’année 2025 dans le rétroviseur, je fais un constat :
Bien que le contexte géopolitique et économique soit la préoccupation du moment, la question du réchauffement climatique n’est pas oubliée pour autant, car ses impacts se font déjà sentir pour de nombreuses entreprises et leurs chaines d’approvisionnement.
Si l’action climatique demeure, elle s’est faite plus silencieuse, et l’écart entre les entreprises visionnaires et les attentistes s’est agrandi. Malgré cette polarisation, on n’assiste pas pour autant au recul de l’ESG. On peut ne pas aimer l’acronyme, mais les sujets environnementaux, sociaux et de gouvernance ne sont pas près de disparaître, car ils sont universels.
Les investissements durables se poursuivent, les cadres normatifs s’harmonisent et deviennent plus accessibles, et les entreprises se concentrent sur le travail de fond plutôt que sur les grandes déclarations d’intention. On ne peut que s’en réjouir.
Pour le Québec, c’est une opportunité concrète de renforcer sa position concurrentielle et d’attirer des clients, partenaires, et investisseurs internationaux.
Selon le dernier Baromètre de la transition des entreprises 2025 de QNP, 72 % des dirigeants d’entreprises québécoises disent être préoccupés par les impacts potentiels des événements........





















Toi Staff
Sabine Sterk
Penny S. Tee
Gideon Levy
Waka Ikeda
Grant Arthur Gochin
Daniel Orenstein