Parmi les collègues qui écrivent et commentent, l’évidence martelée au cours des dernières heures, c’est que la marque libérale est entachée. Quel que soit le choix du prochain chef, il vivra avec un parti entaché par les histoires de malversations.

Je n’y crois pas beaucoup. Oui, l’image du PLQ en a pris pour son rhume depuis un mois. Si des élections avaient lieu demain matin, l’impact serait terrible, les sondages le démontrent. Mais dans 10 mois?

Le Parti libéral du Québec (PLQ) est téflon sur les questions de malversations. Rien ne colle vraiment. Lors des trois élections où les questions de financement et d’intégrité furent centrales, entre 2008 et 2014, les libéraux ont gagné deux gouvernements majoritaires. En 2012, alors que........

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