GTA 6 : répression anti-syndicale ou « faute grave » ? Une trentaine d’employés licenciés par Rockstar Game
Le studio de jeux vidéo Rockstar Games est accusé de répression syndicale par l’IWGB (Union des travailleurs indépendants de Grande-Bretagne) après le licenciement de trente à quarante employés qui s’organisaient syndicalement. La filiale de l’éditeur Take-Two Interactive dément et justifie ces départs forcés par la diffusion d’informations confidentielles.
Six mois avant la sortie de son jeu phare et très attendu « GTA VI », le studio Rockstar Games est accusé de répression syndicale. La filiale de l’éditeur Take-Two Interactive, basée à New York, aurait, selon l’Independent Workers’Union of Great Britain (IWGB, Union des travailleurs indépendants de Grande-Bretagne), licencié entre trente et quarante employés.
Leur tort ? Avoir participé à un groupe de discussion privé, sur la plateforme Discord, dédié à l’organisation d’actions syndicales.
Ces employés des bureaux britanniques et canadiens de Rockstar ont été licenciés dans le seul but « de les terroriser et de les réduire au silence », affirme l’IWGB, dont font partie tous ces travailleurs, dénonçant « l’un des exemples les plus impitoyables de répression syndicale ».
Côté éditeur, Take-Two a démenti toute © L'Humanité





















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