Le texte intitulé « Islamophobie ou islamocécité ? », publié le 18 décembre dans Le Devoir, aborde des sujets importants comme l’islamophobie, l’antisémitisme et la question palestinienne. En introduisant le concept d’« islamocécité », l’article critique ce que ses six auteurs décrivent comme une complaisance envers les dérives islamistes tout en proposant une réflexion sur les politiques identitaires.

Cette approche soulève des questions cruciales. À l’opposé de cette « islamocécité », la notion d’« islaïcité », une laïcité asymétrique appliquée de manière disproportionnée à une seule communauté, mérite également d’être explorée.

Ces deux notions, bien qu’opposées, illustrent des tensions profondes entre multiculturalisme et universalisme, ainsi que les dynamiques d’extrémisme présentes dans toutes les sociétés.

L’article critique l’entrisme des islamistes dans certaines sphères publiques, mais il est essentiel de rappeler que les dérives religieuses ne sont pas l’apanage d’une seule communauté.

Au Québec, par exemple, des groupes sectaires ont également marqué l’histoire récente, notamment par leur influence sur des individus vulnérables. Ces organisations religieuses marginales peuvent manipuler leurs adeptes au nom d’interprétations extrêmes de la foi ou d’idéologies pseudo-religieuses.

Ces exemples rappellent que l’extrémisme, qu’il soit islamiste, juif ou chrétien, repose sur des mécanismes similaires d’influence et de........

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