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Cette idéologie inclusive devenue folle dont la France aurait tout intérêt à reprendre le contrôle en 2024

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04.01.2024

Transidentité

Le Conseil d’État a validé vendredi 29 décembre 2023 une circulaire du ministère de l’Education de 2021, dont le but énoncé est de mieux accompagner les élèves transgenres à l’école. Il s’agit de clarifier le rôle de l’institution face aux « transitions de genre » souhaitées par certains élèves. Elle leur reconnaît des droits, afin de fixer un meilleur cadre de protection en ce qui concerne les demandes de changements de prénoms, les normes vestimentaires ainsi que l’usage des lieux d’intimité. La demande sera faite avec l’accord des deux parents si l'élève est mineur.

Le ministère rappelle que ces situations « doivent faire l'objet d'une écoute attentive et bienveillante permettant de respecter le libre choix de l'élève ». Encore que, « La politique de prévention de la transphobie est ainsi d'autant plus efficace qu'elle s'articule avec la lutte contre le sexisme et contre l'homophobie… ». On précise qu’« À l'instar de tous les élèves présentant des facteurs de vulnérabilité, les élèves transgenres sont particulièrement exposés aux risques de harcèlement et de cyberharcèlement. Une attention particulière doit être portée à la manifestation de troubles co-occurrents (troubles anxieux, dépression, risque suicidaire, abus de substance, auto-agressivité, etc.) » ajoute-on. On écarte dans ce contexte, dans la décision du Conseil d’Etat, qu’on ait dérogé par cette circulaire à « l’exigence de protection de l’intérêt supérieur de l’enfant », indiquant qu’elle « n’a eu ni pour objet ni pour effet de déroger aux dispositions de l’article L. 541-1 du code de l’éducation qui confient en priorité aux personnels médicaux, infirmiers, assistants de service social et psychologues de l’Education nationale la mission d’assurer des actions de promotion de la santé des élèves. ». Mais est-ce bien sûr ? N’oublie-ton pas un autre risque auquel tous les élèves sont exposés, vis-à-vis d’influenceurs, de groupes militants qui sévissent sur les réseaux sociaux, qui font propagande du changement de genre en en banalisant totalement le fait, comme on change de mode vestimentaire ? Ce qui est susceptible de n’être pas sans conséquences sur des jeunes gens en pleine adolescence. Une période où tout change dans la tête et le corps, avec une montée des désirs, sous le signe de nouvelles relations à partir desquelles l’identité se formalise, s’oriente de façon générale pour longtemps. Un changement qui est souvent marqué par la fragilité. Pour de........

© atlantico


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