La France se « désmicardise » comme attendu, et 3 autres infographies à ne pas rater
Le graphorama, c'est quatre infographies sélectionnées chaque semaine par la rédaction pour regarder l'actualité autrement
Chaque semaine, Alternatives Economiques sélectionne pour vous quatre graphiques qui éclairent différemment l’actualité.
Au menu de ce nouveau graphorama : la part de salariés au Smic diminue ; l’aide militaire des Européens à l’Ukraine ne compense pas le désengagement américain ; face à la perte d’autonomie d’un proche, près d’un tiers des aidants sont seuls ; malgré une récente baisse, la valeur globale du patrimoine des Français a beaucoup augmenté ces trente dernières années (mais celui-ci reste toujours aussi mal réparti).
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Au menu de ce nouveau graphorama : la part de salariés au Smic diminue ; l’aide militaire des Européens à l’Ukraine ne compense pas le désengagement américain ; face à la perte d’autonomie d’un proche, près d’un tiers des aidants sont seuls ; malgré une récente baisse, la valeur globale du patrimoine des Français a beaucoup augmenté ces trente dernières années (mais celui-ci reste toujours aussi mal réparti).
1/ Le nombre de « smicards » baisse de nouveau
La « désmicardisation » de la France se poursuit
Part des salariés directement concernés par les revalorisations du Smic et des garanties mensuelles de rémunération en France, en %Note : Entre 1991 et 2009, le décompte est réalisé au 1er juillet de l’année. Pour les années suivantes, il s’agit du 1er janvier de l’année, sauf pour 2025 (1er novembre 2024, en raison d’une revalorisation anticipée du Smic).
Source : Dares, enquêtes AcemoNote : Entre 1991 et 2009, le décompte est réalisé au 1er juillet de l’année. Pour les années suivantes, il s’agit du 1er janvier de l’année, sauf pour 2025 (1er novembre 2024, en raison d’une revalorisation anticipée du Smic).
Hourra, la France se « désmicardise » ! Le 1er novembre 2024, 12,4 % des salariés de l’Hexagone ont été directement concernés par la revalorisation du Smic horaire (salaire minimum interprofessionnel de croissance). C’est moins qu’au 1er janvier 2024 (14,6 %), et beaucoup moins qu’à la même date en 2023 (17,3 %). Ce qui signifie que la part de « smicards » parmi les salariés a diminué.
La nouvelle devrait ravir Gabriel Attal, l’ex-Premier ministre qui avait fait de la « désmicardisation » une de ses priorités. Mais l’ancien locataire de Matignon n’est pas pour grand-chose dans ce mouvement. Comme nous........© Alternatives Économiques





















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