Le procès s’ouvre pour Frichti, qui a fait travailler des centaines de livreurs sans papiers
Pour la première fois en France, une entreprise d’ubérisation doit se justifier sur l’emploi de personnes sans papiers, lors d’un procès qui s’ouvre mardi 13 novembre au tribunal correctionnel de Paris. Un ancien livreur décrit ses conditions de travail comme un «véritable enfer».