En salles mercredi, «Kika» d’Alexe Poukine brosse le portrait d’une jeune mère confrontée au deuil, qui s’initie au travail du sexe en tant que dominatrice. La cinéaste explique à Mediapart comment elle s’est documentée sur la culture du BDSM pour poursuivre sa grande affaire: l’élaboration d’une politique du soin.