Dans un article surtitré « Vite, ma daube », Libération annonce dans le chapô de cette critique consacrée au film du réalisateur belgo-marocain Jawad Rhalib, Amal, un esprit libre : « Sous prétexte de "réalisme", le film de Jawad Rhalib dresse un portrait caricatural et hypocrite de l’islamisme homophobe, à travers la vie d’un établissement belge. » Ne nous y trompons pas : l’hypocrisie ne consiste pas à vivre avec l’islamisme comme si de rien n’était mais à le caricaturer pour mieux terroriser la population.