Ouvrons l’étincelant bijou que Frédéric Pajak vient de donner à ses lecteurs, Nietzsche au piano, en commençant par les dernières pages. Tout à la fin, entre son effondrement dans la folie (1889) et sa mort (1900), dans ces longues années de vie végétative, quand la nuit avait mangé son esprit, qu’il ne lisait ni n’écrivait plus, ne parlait que peu, qu’il ne reconnaissait plus ses amis, ni sa mère, Nietzsche jouait encore du piano, de plus en plus mal dans les ultimes mois.

Nietzsche, musicien avant d’être philosophe

Nietzsche, musicien avant d’être philosophe

Ouvrons l’étincelant bijou que Frédéric Pajak vient de donner à ses lecteurs, Nietzsche au piano, en commençant par........

© Marianne