Les planètes ne sont toujours pas alignées pour François Bayrou. Ce n’est pas faute, pour le Béarnais, d’avoir cru à sa bonne étoile. En 2002, il n’était pas prêt. Il avait bien donné une gifle fort populaire du côté de la Meinau, mais cette présidentielle-là ressemblait davantage à un tour de chauffe qu’à autre chose.

En 2007, il a bien cru atteindre ce second tour, qui lui aurait peut-être permis de recueillir le soutien de Ségolène Royal face à Nicolas Sarkozy, ou celui de Nicolas Sarkozy face à Ségolène Royal. Mais ça n’a pas fonctionné. Et lui, le fameux troisième homme qui restait troisième, il n’a pas voulu choisir.

"Bayrou vomit le progressisme d’En Marche hier, de Renaissance aujourd’hui, même et surtout agrémenté de piments LR"

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Les planètes ne sont toujours pas alignées pour François Bayrou. Ce n’est pas faute, pour le Béarnais, d’avoir cru à sa bonne étoile. En 2002, il n’était........

© Marianne