La « génération Z » est un concept aux contours flous. Englobant les 15-24 ans, elle recouvre des réalités professionnelles hétérogènes. L’Organisation internationale du travail (OIT) privilégie l’expression « jeunesse », désignant ainsi les individus âgés de 15 à 29 ans. Selon l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques), en France, 35,3 % des personnes appartenant à cette classe d’âge déclarent occuper un emploi, contre déjà 76,1 % aux Pays-Bas. En outre, qu’ont en commun des jeunes très diplômés, ambitieux, qui perçoivent leur premier poste comme un tremplin et un complément de formation, et des jeunes moins aisés, qui travaillent pour (sur)vivre et désirent avant tout parvenir à une forme de stabilité économique ?