C’est face à l’adversité que l’on mesure au mieux l’importance des droits fondamentaux. De l’année 2023, la Coordination genevoise pour le droit de manifester tire un bilan qualifié de «préoccupant» en la matière. En cause, notamment, des processus jugés arbitraires, des intimidations policières, voire des amendes.
Des règles et une répression régulièrement dénoncées ces dernières années par la coordination qui conteste depuis sa création le régime des autorisations. Mais rien n’y fait.
Si le terme préoccupant a été choisi pour 2023 quel qualificatif faudra-t-il utiliser pour l’année en cours? Depuis........