On aimerait connaître la directive qui prescrit aux représentants du gouvernement canadien, premier ministre, ministre des Affaires étrangères, ministre du Commerce international, etc., d’exclure le continent africain de leurs travaux, énoncés, discours et autres interventions.

L’exemple vient de haut. Dans son discours du 22 octobre dernier, le premier ministre Carney a fait un grand tour des marchés de rechange (en partie, du moins) au marché américain, un vrai tour du monde dont le continent africain est totalement absent. Qui est vraiment surpris ?

Depuis les élections d’avril dernier, le mot Afrique a été éliminé du vocabulaire, des énoncés et des démarches du gouvernement Carney. Que le Canada ait besoin de nouveaux débouchés pour ses productions constitue une évidence.

Alors où faut-il prospecter ? Certes, l’Europe et la grande région asiatique comprenant ses puissances, la Chine,........

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