Dans sa chronique hebdomadaire, Geneviève Jurgensen évoque la relation singulière que les habitants d’un quartier peuvent nouer (ou pas) avec un sans-abri. D’autant plus qu’ils le croiseront durant de longues années.

Il était tôt ce matin-là quand je suis partie de chez moi pour une première séance de kinésithérapie chez un praticien que........

© La Croix