« Je ne sais pas pourquoi on m’a envoyé en prison » : les demandeurs d’asile et migrants, victimes désignées d’un pouvoir tunisien dont l’Europe est complice |
Le racisme structurel en Tunisie s’est ancré dans la politique du gouvernement Saïed, avec le soutien de l’Union européenne, accuse Amnesty International dans un rapport publié jeudi 6 novembre. Le président tunisien, Kaïs Saïed, préfère quant à lui justifier sa politique répressive par un prétendu « arrangement criminel visant à modifier la composition démographique de la Tunisie ».
La moindre tâche quotidienne comporte sa part de risques pour les personnes racisées en Tunisie.